Aider un proche

Vous êtes aidant(e) de votre conjoint(e), d’un de vos proches.. Ce rôle demande de l’organisation pour ne pas impacter votre santé.

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Je souhaite aider un proche atteint d’une grave maladie…

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Votre proche est gravement malade, vous l’accompagnez au quotidien. Une aide à domicile s’occupe de lui quelques heures par semaine. Vous n’êtes pas rassurée quand vous êtes absente.

L’état de santé de votre proche vous inquiète et le quotidien est lourd à gérer pour vous. Laisser votre proche seul(e) à votre domicile est toujours une préoccupation.
Plusieurs solutions s’offrent à vous afin de pallier votre absence. Une première option serait de mettre en place un plan d’aide à domicile ou bien de le renforcer si le nécessaire a déjà été fait, en augmentant le nombre d’heures de présence de l’intervenant à votre domicile.
Selon votre lieu d’habitation, des centres d’accueil de jour peuvent recevoir votre proche durant la journée et lui proposer des activités adaptées à sa pathologie. Cela pourrait vous permettre de bénéficier d’un peu de répit et de prendre du temps pour vous.
Enfin, avez-vous pensé à prendre contact avec une association spécialisée pouvant vous offrir un espace de parole et d’écoute autour de la maladie et de votre quotidien d’aidant ?

Votre situation est particulière et mérite une réponse personnalisée du fait de sa complexité. Vos conseillers sont à votre disposition pour échanger, vous apporter des réponses, vous accompagner dans vos démarches et vous soutenir dans votre rôle d’aidant(e).

Je souhaiterais m’occuper de ma compagne, handicapée suite à un AVC.

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Votre compagne a perdu de l’autonomie. Elle bénéficie de prise en charge pour de l’aide à domicile, mais vous aimeriez la soutenir et l’accompagner du mieux possible.

Connaissez-vous le congé de proche aidant ?
Ce congé de 3 mois (renouvelable jusqu’à 1 an) permet sous certaines conditions de cesser votre activité professionnelle afin de vous occuper d’un proche handicapé ou faisant l’objet d’une perte d’autonomie d’une particulière gravité.
Ce congé n’est pas rémunéré par l’employeur.
Par contre, vous pouvez bénéficier de l’AJPA (Allocation Journalière du Proche Aidant) pour compenser la perte de revenus.

Pour bénéficier du congé de proche aidant, vous devez avoir au moins un an d’ancienneté dans votre entreprise.
Il vous faudra adresser une demande directement à votre employeur au minimum un mois à l’avance.

Vous n’avez pas de délai à respecter pour faire votre demande s’il s’agit d’une situation d’urgence.
Par exemple : en cas de dégradation soudaine de l’état de santé. Dans ce cas, et sur présentation d’un justificatif médical, le congé sera accepté immédiatement.

En attendant la prise de ce congé, ou même en complément, vous pouvez faire installer un système de téléassistance.
Ce système permettra à votre compagne d’entrer en contact avec des interlocuteurs professionnels 24h/24 et 7j/7 si elle se trouve en difficulté (chutes, malaises...).
Les professionnels lui viendront en aide soit en prévenant des proches pouvant la secourir, soit en contactant directement les services d'urgence.
C’est un bon moyen pour vous seconder si vous avez besoin de vous absenter par exemple.

Un de vos proches (enfant, parent, conjoint…) présente un handicap, une perte d’autonomie ou souffre d’une grave maladie ? Il a besoin d’une présence à ses côtés ? Vos conseillers vous aident à faire le point sur cette situation et envisager les différentes possibilités qui s’offrent à vous.

Nous sommes plusieurs aidants, mais c’est moi qui fais presque tout.

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Vous êtes devenu(e) aidant(e) familial(e) de vos parents. Vous vous épuisez et aimeriez bénéficier du soutien de vos frères et sœurs. Vous souhaiteriez les mobiliser pour équilibrer les tâches et avoir un peu de répit.

Le rôle d’aidant demande de l’investissement, et à trop prendre soin des autres, on oublie souvent de prendre soin de soi. Et pourtant, c’est en restant en forme et en bonne santé que vous serez plus utile auprès de votre proche.
Il est donc essentiel de partager des tâches lorsque cela est possible, à la fois pour vous préserver, et aussi pour ne pas développer un sentiment de frustration à l’égard de votre cercle familial.

Vous avez spontanément accepté de vous rendre au domicile de votre proche pour l’aider. Ce qui vous paraît être une évidence ne l’est pas forcément pour vos frères et sœurs.
Dans un premier temps, ouvrez le dialogue avec votre famille et voyez comment chacun choisi d’agir.
Si la situation ne vous convient toujours pas, proposez alors à vos frères et sœurs d’établir un planning afin que chacun participe selon ses disponibilités.

Si vous avez besoin de conseils pour trouver les mots justes, sachez qu’il existe de nombreuses associations d’aidants. Vous bénéficierez de l’expérience d’autres aidants pour savoir comment ils s’organisent et comment ils ont réussi à mobiliser toute la famille.

Votre situation d’aidant(e) devient épuisante ? Vous souhaiteriez parler de ce que vous vivez ou bien échanger avec d’autres personnes qui vivent la même chose que vous ? Contactez vos conseillers. Ils sauront vous orienter vers des organismes adaptés et vous apporteront une écoute attentive et bienveillante.

Vivre un deuil

Vous êtes confronté(e) au décès d’un proche ? En plus de la tristesse de la perte d’un être cher, il y a de nombreuses démarches à réaliser.

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Mon mari vient de décéder, j’ai besoin de conseils pour les démarches à réaliser.

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Vous avez perdu un être cher. À la douleur de l’absence s’ajoute des difficultés organisationnelles ainsi que des problèmes financiers.

Il existe des services d’écoute et groupes de parole pour vous permettre de partager votre souffrance, d'être écouté (e), soutenu(e), et compris(e).
Rapprochez-vous de votre médecin traitant afin qu’il vous oriente, vers un Centre Médico Psychologique.
Ces centres se composent de professionnels formés pour vous accompagner dans ce type d’épreuve.
Il peut aussi vous orienter vers un professionnel libéral du réseau « MonPsy » proposé par l’Assurance Maladie.

D’un point de vue organisationnel, il est important de pouvoir compter sur vos proches. Ils savent que vous vivez une période particulièrement difficile et sont là pour vous.
Mais savez-vous que pour vous dépanner, vous pouvez également faire appel à des prestataires de services à la personne ? Ménage, entretien du jardin, garde des enfants et/ou accompagnement à l’école… Ces services sont souvent assurés par des associations. Les prestations de services à la personne sont payantes, mais l’emploi de services à la personne vous permet de bénéficier d’un crédit d’impôt à hauteur de 50% des sommes engagées (dans la limite annuelle de 12 000€), depuis peu, vous pouvez y accéder de manière immédiate.

Concernant vos difficultés financières, des aides sont possibles selon votre situation.

  • Le capital décès
    Il s’agit d’une indemnité versée par l’Assurance Maladie, si votre conjoint était encore en activité.
  • L’allocation veuvage
    C’est une allocation temporaire (de 2 ans maximum), versée par la caisse de retraite de votre conjoint.
  • La pension de réversion
    Sous condition d’âge et de ressources, il est possible de percevoir une partie de la retraite de votre conjoint.

Vous êtes dans une situation difficile à la suite d’un décès ? Vous avez besoin de réponses personnalisées ? Vous aimeriez pouvoir vous confier ? Nous vous encourageons à contacter vos conseillers qui sauront vous écouter avec bienveillance et qui vous aideront à trouver des solutions adaptées.

Je ne sais pas comment parler du décès de son grand-père à mon petit-fils de 8 ans.

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Votre petit-fils se renferme depuis le décès de son grand-père et vous ne savez pas comment l’aider.
Le dialogue a une place importante dans des situations pareilles, et permet à l’enfant de ne pas rester avec ses questions et son mal-être.

C’est pourquoi, il est important qu’il en parle à quelqu’un, et pas forcément à vous. A-t-il eu l’occasion de voir votre médecin de famille depuis la perte de son grand-père ?
Les infirmiers ou les psychologues présents dans les écoles sont sensibles à ces épreuves que peuvent traverser vos petits-enfants, et sont disponibles pour les aider à faire le deuil et « revivre normalement ».
Aussi, il existe des lieux qui peuvent accueillir vos petits-enfants pour des consultations d’accompagnement suite à un traumatisme. Il s’agit des CMP (Centres Médicaux Psychologiques).
Vous pouvez également consulter ce lien : www.fondation-ocirp.fr/Comment-parler-avec-l-enfant-de-la-maladie-grave-et-de-la-mort, ce livret arrive en réponse à de nombreuses questions que se posent les parents et leurs enfants devant faire face à la maladie ou la mort.

Vous ne savez pas comment vous y prendre sans empirer la situation face à votre petit-enfant qui a du mal à encaisser un décès. Parce que parler de la mort avec un enfant désamorce et permet de se reconstruire, c’est un premier pas pour retrouver un équilibre de vie. Prenez contact avec vos conseillers par mail ou téléphone afin d’être accompagné(e), et trouver des alternatives.

Un ami très proche vient de décéder, je me sens seul.

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Vous êtes désemparé(e) par le décès de votre ami(e), avec lequel vous étiez très proche depuis l’enfance. Vous vous sentez isolé(e) et vous n’arrivez pas à reprendre vos habitudes comme ont pu le faire d’autres de vos ami(e)s.

Tout d’abord, gardez à l’esprit que la perte d’un proche affecte les gens de manières différentes et qu’il faut laisser le temps apaiser votre peine. Ne vous culpabilisez pas.

Pour surmonter votre tristesse et vous aider à aller mieux, il pourrait être utile d’en parler. Vous pouvez probablement échanger avec d’autres ami(e)s communs ou votre conjoint(e). Ils seront peut-être davantage à votre écoute que vous ne le pensez.

Sinon, sachez qu’il existe des associations qui proposent des espaces d’écoute ou des groupes de paroles. Ces associations sont spécialisées dans l’accompagnement des personnes en deuil. Elles sauront vous apporter tout le soutien dont vous avez besoin.

Bien entendu, vous pouvez rester en contact avec notre service et nous appeler lorsque vous en ressentez le besoin.

Vous venez de perdre un proche et vous êtes perdu(e)…
Vous pouvez avoir besoin d’être accompagné(e). Vos conseillers vous écoutent, vous informent sur les premières démarches à accomplir et vous orientent vers les professionnels compétents.

Vivre avec un handicap

Être en situation de handicap peut présenter des défis uniques. Comment organiser le quotidien ? Quelles aides existent ?

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Mon fils est lourdement handicapé. Je m'épuise…

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Vous êtes inquiet(e) pour votre fils en situation de handicap qui n’est plus scolarisé. Vous souhaitez trouver des solutions pour préserver son bien-être et l’équilibre de votre famille.

Votre fils a-t-il été reconnu officiellement pour son handicap ?
Si ce n’est pas le cas, adressez-vous à la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH), afin de faire reconnaitre son handicap.
En plus d’apporter un éventuel soutien financier à votre fils, les professionnels de la MDPH seront aussi de bon conseil pour l’avenir de votre enfant.
Par ailleurs, si un placement en établissement spécialisé est préférable, ils sauront également vous orienter.

Afin de pouvoir souffler un peu, de prendre du temps pour vous, ou bien pour consacrer davantage de temps à vos autres enfants, vous pouvez aussi solliciter les services des prestataires à domicile. Leurs compétences sont variées et ils peuvent vous seconder quelques heures à la maison ou auprès de fils.

Vous pouvez également vous adresser aux structures d’accueil ou d’hébergement temporaire, ou encore à l’accueil familial. Cela vous permettrait de souffler un jour par semaine, ou plus, selon vos besoins.

Enfin, rapprochez-vous d’une association de patients selon le handicap de votre enfant. Ces associations ont une véritable expérience de la maladie et seront un véritable soutien.

Chaque situation de handicap est particulière. Contactez un conseiller afin de faire le point sur ce que vous vivez, et examiner ensemble les différentes possibilités qui s’offrent à vous.

Je suis en situation de handicap et aujourd’hui j'aimerais reprendre une activité professionnelle…

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Suite à un accident, vous êtes en situation de handicap. Vous vous sentez désormais prêt(e) à reprendre un travail et aimeriez être aidé(e) dans votre démarche…

Selon France Travail : « Le taux de chômage des personnes handicapées atteint 19 %, soit près de deux fois le taux national ». L’accompagnement à l’emploi des personnes en situation de handicap est donc un vrai enjeu de société.
Des dispositifs ont donc été mis en place pour aider les personnes qui se retrouvent dans cette situation.

Pour initier votre démarche de retour à l’emploi, adressez-vous à un conseiller France Travail (anciennement Pôle Emploi).
Il pourra vous accompagner de manière spécifique, notamment dans le cadre du programme « accompagnement intensif aux personnes handicapées ».
Cet accompagnement intensif se compose d’ateliers, d’information sur les dispositifs spécifiques, d’aides à la rédaction du CV, de simulations d’entretiens d'embauche...
S’il le juge nécessaire, le conseiller France Travail pourra vous orienter vers le service Cap emploi.

Grâce à ce service Cap emploi, vous serez accompagnée par un référent unique tout au long de votre parcours.
En particulier dans le cadre de l’aide à l’insertion professionnelle, le référent Cap emploi vous informera, vous conseillera et vous accompagnera dans la définition de votre projet professionnel, votre formation, votre recherche d’emploi, et sur les aides et dispositifs existants.
Si nécessaire, le référent Cap emploi pourra faire appel à des prestataires tels que des ergonomes, des spécialistes de certains handicaps, la médecine du travail, des organismes de bilan de compétences ou de formation…

Afin d’être accompagné(e) et soutenu dans votre démarche de retour à l’emploi, contactez un conseiller.

Ma fille de 3 ans est en situation de handicap. Quelles solutions existent pour sa scolarisation ?

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Vous vous inquiétez sur la scolarisation de votre fille en situation de handicap. Vous aimeriez connaître les options à votre disposition.

Selon la nature et la gravité du handicap de votre enfant, celui-ci pourra être accueilli dans les structures dites « ordinaires » ou bien devra intégrer une structure spécialisée.
Si votre enfant peut être accueilli dans une structure ordinaire, vous pouvez l'inscrire dans une crèche, halte-garderie, jardin d'enfants, ou à l’école maternelle.
Votre enfant y sera accueilli dans les mêmes conditions que les autres.
Avec l’accord de la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), il pourra aussi être accompagné par une AVS (Auxiliaire de Vie Scolaire) afin de l’aider à progresser.
Un PAP (Plan d’Accompagnement Personnalisé) pourra aussi être mis en place selon les besoins spécifiques de votre enfant. Ce plan permet par exemple de prévoir des actions pédagogiques adaptées, de planifier la prise de médicaments, ou de réaliser des aménagements de l’emploi du temps.

À partir de l’école élémentaire, et si votre enfant a besoin d’un accompagnement spécial, il pourra suivre sa scolarité en milieu ordinaire dans une Unité localisée pour l'inclusion scolaire (Ulis).
Les classes Ulis sont totalement intégrées aux établissements scolaires ordinaires.

Si la scolarisation de votre enfant n’est pas possible en milieu ordinaire, il faudra recourir aux structures spécialisées, telles que :

  • les IME (Instituts Médico-Éducatifs), qui accueillent des enfants présentant des troubles des fonctions cognitives (handicap mental) ;
  • les IEM (Instituts d'Éducation Motrice), qui accueillent des enfants présentant un handicap moteur ;
  • les ITEP (Instituts Thérapeutiques Éducatifs et Pédagogiques), qui accueillent des enfants présentant des troubles de la conduite et du comportement perturbant gravement leur socialisation et l'accès aux apprentissages ;

Vous vous questionnez sur l’avenir de votre enfant en situation de handicap ? Vous aimeriez des conseils pour faire les bons choix ? Vous souhaiteriez être accompagné dans vos démarches ?
Contactez un conseiller qui saura vous renseigner selon les spécificités de votre situation.

Équilibrer vie privée et travail

La frontière entre vie professionnelle et personnelle peut parfois sembler floue. Comment trouver l’équilibre pour vous épanouir ?

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

J'ai été en arrêt maladie pendant 8 mois, il est temps pour moi de reprendre le travail…

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Après un long arrêt maladie, vous êtes prêt(e) à reprendre votre activité professionnelle. Vous aimeriez le faire progressivement et souhaitez savoir si des solutions existent dans votre situation.

Pour une reprise progressive du travail après un arrêt maladie, vous pouvez opter pour le Temps Partiel Thérapeutique (TPT).
Ce dispositif, communément appelé "mi-temps thérapeutique", permet de reprendre votre poste de travail de manière progressive grâce à un aménagement de votre temps de travail et de votre charge de travail.
Seul le médecin traitant peut prescrire une reprise du travail à temps partiel pour raison thérapeutique.
Le temps de travail dans le cadre d’un TPT dépend de votre situation de santé, et est déterminé par votre médecin traitant.
Ainsi, vous pouvez être amené à travailler 50 % de votre temps de travail habituel, ou bien 30 %, 80 %…
La reprise du travail à temps complet se fera progressivement en fonction de l’amélioration de votre état de santé.

Par ailleurs, sachez qu’au-delà de 3 mois d’arrêt, vous avez la possibilité de bénéficier d’une visite de pré-reprise avec votre médecin du travail.
Cette visite s’effectue uniquement à votre demande et se déroule pendant votre arrêt de travail.
L’objectif de cette visite de pré-reprise est d’anticiper la mise en place éventuelle de mesures d'adaptation de votre poste ou de votre temps de travail.
Le médecin peut par exemple proposer :

  • des aménagements et/ou la réduction de votre temps de travail ;
  • la modification de vos horaires ;
  • la mise en place de journées de télétravail ;

Sauf opposition de votre part, le médecin du travail informera votre employeur et le médecin-conseil de l'Assurance Maladie de ses recommandations, afin que les mesures soient mises en place dès votre reprise.

Afin d’être accompagné dans le cadre de votre situation spécifique, n’hésitez pas à contacter un conseiller.
Il saura vous écouter et vous conseiller de manière personnalisée.

Avec tout ce que j’ai à faire au quotidien, je ne m’en sors plus. Comment gagner du temps ?

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Vous êtes surchargé(e) par toutes vos tâches du quotidien. Vous avez le sentiment de ne plus y arriver et vous cherchez des solutions pour optimiser vos tâches et gagner du temps.

Plusieurs pistes sont à explorer pour optimiser vos tâches du quotidien afin de vous dégager du temps. Ainsi, vous gagnerez en sérénité !

Essayez d’organiser vos semaines et de mettre à contribution l’ensemble de la famille :

  • Établissez un planning des tâches, afin de ne rien oublier et aussi pour vous libérer l’esprit.
  • Priorisez les tâches. Il n’est parfois pas possible de tout faire, il faut donc savoir prioriser ce qui est le plus important pour vous, et apprendre à relativiser lorsque tout n’est pas fait.
  • Impliquez les membres du foyer en assignant des missions à chacun.

En ce qui concerne les tâches ménagères, si vous en avez la possibilité, investissez dans des équipements électroménagers qui simplifient la vie quotidienne.
Par exemple, optez pour un robot-cuiseur qui surveillera les préparations en cuisson à votre place, achetez un lave-vaisselle pour vous libérer de la corvée de vaisselle à la main, équipez-vous d’un sèche-linge pour éviter les tâches d'étendage et de repassage du linge, prenez un aspirateur robot, une solution efficace pour reléguer le balai au placard.

Anticipez certaines tâches pour éviter d’être débordé.
En l’occurrence, la préparation des repas, qui est l’une des tâches qui prend le plus de temps chaque jour.
Préparez des repas à l’avance (le week-end par exemple) et/ou préparez de plus grosses quantités. Vous pourrez alors congeler des portions et les ressortir lorsque vous n’aurez pas le temps de cuisiner.

Enfin, n’hésitez pas à utiliser les services en ligne pour vous affranchir des contraintes horaires.
Par exemple, en effectuant vos courses en ligne. Vous pourrez ainsi les faire en dehors des heures d’ouverture des magasins et vous n’aurez plus qu’à récupérer vos courses à l’heure du rendez-vous.

Vous avez besoin de conseils personnalisés dans le cadre de votre situation spécifique ?
Contactez un conseiller afin de bénéficier d’un accompagnement sur mesure.

Avec mon nouveau travail je vais parfois devoir rentrer tard. Qui pourrait récupérer mes enfants à l'école ?

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Dans le cadre de votre nouveau travail, vous ne pourrez parfois pas récupérer vos enfants à l’école. Vous cherchez une solution pour pallier cette problématique.

Lorsque le besoin d’accompagnement est ponctuel, le plus simple est de solliciter l’entourage. Qu’il s’agisse de la famille ou d’autres parents d’élèves en qui vous avez confiance, c’est la 1ère piste à privilégier.

Si vos enfants doivent réaliser seuls une partie du trajet, sachez qu’il existe des balises GPS afin de suivre vos enfants à distance. Sous forme de petits boîtiers à glisser dans le sac ou bien sous forme de montres, ces traceurs indiquent en temps réel où se trouvent vos enfants.
(Le dispositif coûte entre 40 et 100 € selon les modèles, auquel il faut ajouter un abonnement téléphonique mensuel de 5 à 20 €).
Un bon moyen pour vous rassurer, vous et vos enfants !

Si toutefois la solution de l’entourage n’est pas possible, vous pouvez également faire appel aux prestataires de Services À la Personne (SAP). On désigne par ce terme les prestations de services rendus aux particuliers.
L’accompagnement des enfants dans leurs déplacements est une des compétences des SAP.
Les prestations des SAP sont rendues par des organismes certifiés qui peuvent être des entreprises ou bien des associations. Leurs services sont facturés entre 20 et 30 € de l’heure.
Sachez que dans le cadre de l’emploi de SAP, vous pouvez bénéficier d’un crédit d'impôt de 50 % des dépenses supportées, dans une limite annuelle de 12 000 €.

Vous faites face à des problèmes ponctuels pour accompagner ou récupérer vos enfants (école, activités sportives…) ? Contactez un conseiller qui pourra vous aider à trouver des solutions dans votre situation particulière.

Veiller sur sa santé

Prendre soin de soi est essentiel pour mener une vie épanouie. Alimentation, activité physique, quelles sont les bonnes habitudes pour une vie plus saine et équilibrée ?

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Mes nuits sont morcelées : quelles solutions ?

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Vous êtes réveillé(e) par la faim dans la nuit, ce qui ne vous permet pas d’avoir un sommeil réparateur. Vous souhaitez avoir des pistes pour retrouver une meilleure qualité de sommeil.

Le sommeil permet avant tout à l’organisme de se reposer, il est primordial de dormir suffisamment et bien, afin de rester en bonne santé.

En effet, en ne dormant pas assez, ou de façon entrecoupée, vous serez facilement distrait et aurez plus de difficultés à rester concentré sur une tâche. Manquer de sommeil provoque, en outre, irritabilité, impatience, fatigue…

Il est donc important que vous trouviez un équilibre alimentaire afin de ne pas vous lever la nuit.
Manger trop peu ou ne pas manger du tout au repas du soir, va inévitablement vous rappeler à l’ordre dans la nuit.
De la même façon, manger trop lourd ou trop riche ne vous aidera pas non plus à trouver le sommeil facilement.
De plus, il est recommandé de prendre le repas du soir au moins une heure avant de se coucher.
Un(e) diététicien(ne) ou nutritionniste peut vous aider à rééquilibrer votre alimentation.

Certaines habitudes adoptées en soirée peuvent également favoriser l’endormissement.

Par exemple :

  • Se coucher à heure régulière ;
  • Éviter les boissons excitantes telles que le café, le thé, ou l’alcool ;
  • Pratiquer une activité de détente (éviter le sport ou les jeux vidéo par exemple) ;
  • Éviter les écrans au moins une heure avant le coucher. Télévision, tablette, téléphone, console de jeux : ces derniers excitent le cerveau et perturbent ainsi l’endormissement.

Sachez par ailleurs que pour s’endormir, la température du corps doit baisser : dormir dans une chambre trop chauffée nuira à un bon endormissement. Veillez à baisser le chauffage et à ne pas dormir avec trop de couvertures pour permettre à l’organisme de s’endormir.

Votre sommeil est perturbé ? Votre rythme de vie vous empêche d’avoir un sommeil réparateur ?
Contactez un conseiller afin d’en discuter avec lui et de réfléchir à des solutions pour votre bien-être.

Comment surveiller son poids avec les repas professionnels ?

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Votre activité professionnelle vous conduit souvent au restaurant, et de fait, vous ne maîtrisez pas complètement ce qu’il y a dans votre assiette. Vous souhaitez être accompagné(e) pour gérer ce facteur, et plus largement sur la question de l’alimentation.

Pour mieux gérer votre poids, vous pouvez agir à plusieurs niveaux : l’alimentation bien sûr, mais aussi l’exercice physique par exemple. Le sommeil ou le stress peuvent aussi expliquer la prise de poids.
Aussi, avant de définir un plan d’action, vous pouvez faire un bilan global avec votre médecin traitant, qui vous permettra d’identifier objectivement les sources possibles de votre prise de poids.

Sur la base de ce diagnostic, votre médecin pourra vous orienter vers des spécialistes s’il le juge nécessaire, et vous prodiguer des conseils sur vos habitudes de vie.
Dans le cadre professionnel, vous pouvez éviter les viennoiseries et prêter attention au choix des desserts : choisir quelque chose de léger si la carte le permet, ou le remplacer par un café (à éviter le soir).
Combiner ces nouvelles habitudes avec un peu d’activité physique, comme par exemple effectuer des courts trajets à pied, constituent une bonne base pour maîtriser son poids.

Vous avez envie de prendre en main vos habitudes alimentaires pour une vie saine et avez besoin d’être guidé(e) ? Contactez un conseiller afin de faire le point sur votre situation, être conseillé(e), et étudier ensemble comment mettre ces conseils en pratique dans la durée.

Je n’ai pas l’énergie pour faire du sport

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Votre médecin vous a fait prendre conscience que pratiquer une activité physique était bénéfique pour votre santé. Mais vous ne trouvez pas l’énergie pour vous lancer dans un sport après votre travail. Vous cherchez donc des solutions.

La fatigue, ou la crainte d’être fatigué, peut vous décourager dans votre décision de pratiquer une activité physique.
Il semble nécessaire dans un premier temps d’identifier cette fatigue. Est-elle physique ou psychique ?
En fonction, parlez-en à votre médecin traitant afin de faire un bilan de santé et d'échanger sur vos capacités.
Mais, sachez que la pratique régulière d’une activité physique permet au contraire de diminuer la fatigue et donne de l'énergie.

Par contre, pour ne pas vous décourager par la difficulté, il est très important de commencer doucement.
Vous pouvez commencer par augmenter votre activité physique dans vos actes de la vie courante.
Chaque fois que cela est possible, privilégiez les déplacements à pied, restez debout ou prenez les escaliers plutôt que l’ascenseur.
Et si vous envisagez de pratiquer un sport, tournez-vous vers une activité douce, telle que la marche nordique ou la natation.
Privilégiez également les sports en groupe qui vous aideront à maintenir votre motivation.

Vous vous sentez fatigué(e), peu motivé(e) ? Pour tenir dans le temps, il vous faut des raisons d’agir. Mettez par écrit les raisons qui vous poussent à reprendre le sport et relisez-les régulièrement (faire le plein d’énergie, être souriant et positif…). Cela entretiendra votre motivation.
Contactez un conseiller afin d’échanger sur votre situation. Il pourra vous accompagner pour vous aider à atteindre votre objectif.

Se faire hospitaliser

De la préparation préalable à votre admission à la transition vers les soins post-hospitaliers, une hospitalisation demande d’être informé(e) et soutenu(e).

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Je vais mieux depuis mon opération et j’aimerais reprendre une activité physique…

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Depuis votre opération, vous avez avait arrêté le sport. Maintenant, vous vous sentez de nouveau prêt(e) à reprendre une activité physique et vous aimeriez des conseils pour recommencer en douceur.

Après une opération, il est essentiel de reprendre une activité sportive de manière progressive et adaptée pour éviter les blessures.
Pour commencer, assurez-vous auprès de votre médecin que vous êtes en capacité de reprendre une activité physique.
Il pourra, par ailleurs, vous donner des conseils et vous préconiser certains sports adaptés à votre situation particulière.
Par exemple, la natation est souvent recommandée, car elle permet un travail complet du corps sans impact violent. Également, la marche nordique, qui se pratique avec des bâtons, peut aider à renforcer les muscles tout en sollicitant les épaules en douceur.

Avant de commencer votre activité, prenez le temps de vous échauffer. Cela permet de préparer vos muscles et articulations et ainsi de mettre doucement votre corps en mouvement.

Pendant la pratique de votre activité, hydratez-vous bien.
Une bonne hydratation contribue à prévenir les crampes musculaires, la fatigue et limite ainsi le risque de blessure.
De plus, soyez à l’écoute de votre corps et aux signaux qu’il vous envoie. Si vous ressentez une douleur inhabituelle, arrêtez-vous immédiatement. Ne forcez pas et respectez vos limites.

Enfin, après l'effort, n'oubliez pas de vous étirer pour favoriser la souplesse et la récupération musculaire, et continuez à vous hydrater.

Vous avez besoin de conseils par rapport à votre situation spécifique ? Contactez un conseiller pour un accompagnement personnalisé.

Quelles aides pour mon conjoint durant mon hospitalisation ?

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Vous êtes hospitalisé(e) pour une durée indéterminée et vous souhaiteriez savoir si des aides existent pour soutenir votre conjoint qui s’occupe seul de vos deux enfants.

Votre séjour à l'hôpital se prolonge ; vous pouvez envisager d'avoir recours à une aide-ménagère pour épauler votre conjoint dans les tâches quotidiennes.

Pour commencer, vérifiez si vous bénéficiez d’une garantie d’assistance auprès de votre complémentaire santé ou de votre contrat de prévoyance.
Les garanties d’assistance sont généralement conditionnées par la survenue d’un évènement imprévu, et offrent des services tels que des heures d’aide-ménagère.

Renseignez-vous également auprès de votre caisse de retraite.
Celles-ci accordent des aides à leurs adhérents en activité. Bien souvent, ces aides sont attribuées sous conditions de revenus.

Votre compagnon a également la possibilité de solliciter la Caisse d'Allocations Familiales qui peut, elle aussi, apporter une aide ponctuelle.

Que vous soyez hospitalisé ou que vous prépariez votre sortie d’hospitalisation, vous avez besoin d’être aidé et accompagné dans la recherche de services à mettre en place ou de financement.
En fonction de votre situation et de vos besoins, un conseiller se propose de faire le point avec vous et d’étudier toutes les possibilités humaines, financières et organisationnelles.

À l'hôpital, lors de la préadmission, le personnel m'a demandé de désigner une "personne de confiance". De quoi s'agit-il ?

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Dans le cadre de votre hospitalisation, vous vous questionnez sur un formulaire qui vous a été remis par l’établissement. Vous aimeriez savoir à quoi correspond la désignation d’une « personne de confiance ».

Une "personne de confiance" est une personne que vous désignez pour vous accompagner dans vos démarches liées à votre santé.
La personne de confiance peut alors :

  • assister à vos entretiens médicaux si vous le souhaitez ;
  • prendre connaissance d’éléments de votre dossier médical exclusivement en votre présence ;
  • vous soutenir dans votre parcours de santé ;
  • être consulté par l’équipe médicale sur la mise en œuvre, la poursuite ou l’arrêt de traitements, si vous n’étiez plus en capacité d’exprimer votre volonté.

Son avis pourra être pris en compte par l'équipe médicale, mais c'est au médecin qu'il reviendra de prendre les décisions concernant votre santé.

Vous pouvez choisir toute personne majeure, en qui vous avez confiance, qui sera en mesure d'agir selon vos volontés en cas de besoin, et qui est d’accord pour assumer ce rôle.

Vous pouvez désigner une personne de confiance par écrit, lors de votre admission à l'hôpital ou en dehors de toute hospitalisation. Dans le cadre d’une hospitalisation, la désignation d’une personne de confiance est valable pour la durée de l'hospitalisation.
Sachez enfin que la désignation d’une personne de confiance est un droit dont vous disposez, mais ce n’est nullement une obligation.

Vous, ou l’un de vos proches, allez prochainement être hospitalisé ? Vous avez des questions ou besoins d’informations sur les démarches à réaliser ? Un conseiller saura vous renseigner et vous accompagner dans vos démarches.

Être en perte d'autonomie

Vous avez perdu en autonomie du fait de l’avancée en âge, ou suite une hospitalisation, immobilisation ?

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

J’habite seul(e) et j’ai peur de tomber.

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Vous vivez seul(e) et vous vous inquiétez des conséquences d’une chute. Vous cherchez comment être rassuré(e).

Les chutes représentent un des premiers facteurs d’hospitalisation pour les personnes de plus de 65 ans. Outre les complications traumatiques fréquentes et parfois invalidantes, les chutes ont aussi des impacts psychologiques et sociaux : perte de confiance, peur de tomber à nouveau, repli sur soi.

Il est donc normal d’avoir peur de tomber, mais il ne faut pas que cela vous conduise à limiter vos déplacements ou à stopper toute activité physique, car cela pourrait entraîner à terme une plus grande difficulté à vous mouvoir.

Le risque de chute et les conséquences en résultant peuvent être anticipés grâce à certaines règles de vie :

  • Adopter une alimentation saine et équilibrée afin d’empêcher une dénutrition et une fonte musculaire,
  • Maintenir une activité physique quotidienne : marche, gym douce ou adaptée, étirements…
  • Aménager son habitat pour faciliter ses déplacements en toute sécurité.

Les technologies liées à la téléassistance permettent de prévenir immédiatement les secours ou l’entourage.
Il s’agit de dispositifs qui se présentent sous la forme de colliers, de montres, ou encore qui sont intégrés au téléphone portable, et qui permettent de signaler une situation d’urgence ou de mal-être par simple appui sur un bouton.

Vous avez peur de chuter à votre domicile et des conséquences qui en découlent ? Vos conseillers vous écoutent et vous aident à trouver les solutions les plus adaptées à votre situation.

Je voudrais sécuriser ma salle de bain : qui peut me conseiller ?

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Suite à un accident, vous vous êtes cassé le genou, avez gardé des séquelles, désormais, vous marchez avec une canne de soutien.
Vous rencontrez des difficultés particulières pour prendre votre douche et aimeriez adapter votre salle de bain en réalisant des travaux. Existe-t-il des dispositifs qui pourraient vous aider ?

La salle de bain est une des pièces du domicile où les dangers sont les plus nombreux : enjambement de la baignoire, sol glissant, risque de brûlures, manque d’éclairage et tapis au sol qui peuvent entraîner des chutes… Il est donc nécessaire de bien la sécuriser.

Pour commencer, il est important de bien définir la nature des travaux dont vous avez besoin.
Pour cela, vous pouvez vous faire accompagner par un professionnel afin de définir les aménagements et modifications nécessaires.
Vous pouvez notamment faire appel à un ergothérapeute.
Il s’agit d’un professionnel de santé diplômé d'État qui se rendra à votre domicile et réalisera un diagnostic complet et personnalisé de votre habitat en tenant compte de vos habitudes.
À la suite de ce diagnostic, l’ergothérapeute vous proposera les solutions pour faciliter et sécuriser votre vie au domicile.

Des associations, telles que SOLIHA, vous proposent également de vous accompagner dans votre projet.

En termes de financement, il existe différentes aides selon votre situation.
La CAF (Caisse d’Allocation Familiale) par exemple, propose un prêt à l’amélioration de l’habitat.
L’ANAH (Agence Nationale de l’Habitat), peut aussi allouer une aide aux propriétaires pour réaliser des travaux d’adaptation. Action Logement dispose par ailleurs d’une aide spécifique pour l’installation d’une douche adaptée.

Vous souhaitez réaliser des travaux à votre domicile afin de faciliter votre quotidien, dans le cadre d’une perte d’autonomie, d’un handicap, ou bien en prévention ? Vous aimeriez être conseillé sur les démarches à entreprendre et les aides existantes ? Contactez vos conseillers qui sauront vous apporter des réponses personnalisées selon votre situation.

Je sors de l’hôpital et j’aurais besoin d’aide pour mon retour à domicile.

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Après une lourde opération à la jambe et allez bientôt sortir de l’hôpital. Vous vous déplacez à l’aide de béquilles et vous avez peur de ne pas avoir la force physique pour vous relever si besoin. Pendant quelque temps vous allez avoir des difficultés pour faire les tâches du quotidien. Vous souhaitez éviter de sur-solliciter votre conjoint(e).

Pour compléter la solidarité familiale, il est possible de mettre en place des services à domicile afin de vous aider dans votre quotidien : ménage, aide à la toilette, livraison des courses et des médicaments, portage des repas…
Pour faciliter votre retour à domicile et évaluer vos besoins, vous pouvez, si vous êtes retraité(e), contacter avant votre sortie d’hospitalisation, l’Assurance Maladie pour solliciter l’ARDH (Allocation de Retour à Domicile après Hospitalisation).

Que vous soyez retraité(e) ou non, contactez votre complémentaire santé, ainsi que votre assurance habitation.
Ces organismes peuvent prévoir des aides contribuant au soutien à domicile.

Votre caisse de retraite complémentaire peut éventuellement vous accompagner ponctuellement lors de votre sortie d’hospitalisation pour financer la mise en place d’un service à domicile ou vous orienter vers les dispositifs légaux auxquels vous pouvez prétendre.

Au-delà d’éventuelles aides financières, sachez que l’emploi d’aides à domicile vous permet de bénéficier d’un crédit d’impôt ou d’une réduction d’impôt à hauteur de 50% des sommes engagées (dans la limite d’un certain montant). C’est un avantage fiscal non négligeable pour vous aider dans cette situation temporaire.

Vous préparez votre sortie d’hospitalisation et recherchez des informations ? Vous accompagnez un proche en situation de handicap temporaire et ne savez pas comment lui venir en aide ? Contactez vos conseillers afin de faire le point sur votre situation et vous indiquer les démarches à engager, ainsi que les relais adaptés.

Préparer sa succession

Préparer sa succession est un moment important dans le parcours de vie. Cette démarche peut soulever beaucoup d’interrogations.

Vos conseillers La Carac, Partenaire de Vie, sont à votre écoute pour vous accompagner et vous orienter.

Accepter ou renoncer à une succession.

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Votre père vient de décéder. Il avait des dettes et vous vous questionnez sur votre obligation ou non de renoncer à sa succession.

Une fois l’actif successoral déterminé, c’est l’heure des choix pour les héritiers. Ils ont trois possibilités : accepter la succession, accepter la succession à concurrence de l’actif net (moins les dettes et créances) ou renoncer à la succession. Le délai pour exercer l’option successorale est de quatre mois.

Passé cette période de réflexion et si l’héritier n’a pas pris de décision, un créancier, un cohéritier, l’État ou une personne qui hériterait si l’ayant-droit renonçait peuvent obliger ce dernier à trancher. L’héritier dispose alors de deux mois pour prendre une décision. Il peut demander un délai supplémentaire au juge. Sans réponse, il est considéré comme ayant accepté la succession. Si personne ne contraint l’héritier à faire un choix, il a 10 ans maximum pour se prononcer. Au-delà de ce délai, il est cette fois considéré comme ayant renoncé à la succession.

  • L’acceptation de la succession, qui peut être expresse (via un acte d’acceptation) ou tacite (via des démarches engagées), permet à l’ayant-droit de recevoir sa part d’héritage. Celui-ci est toutefois tenu de payer les dettes du défunt dans la limite de ses droits dans la succession. Il existe une autre limite à l’obligation de paiement des dettes lorsqu’une dette importante est découverte par la suite. Une fois la succession acceptée, l’héritier ne peut plus y renoncer, ni l’accepter à concurrence de l’actif net.
  • L’option de l’acceptation de l’actif net signifie que l’ayant-droit recevra sa part d’héritage et paiera les dettes dans la limite des biens du défunt. Ses biens personnels restent donc à l’abri des créanciers. L’héritier qui fait ce choix ne peut plus renoncer à la succession, mais il peut l’accepter purement et simplement et de ce fait renoncer à l’acceptation à concurrence de l’actif net s’il constate que la succession est excédentaire.
  • Enfin, dans le cas de la renonciation, l’héritier ne reçoit aucun bien et ne paie aucune dette du défunt. Il peut néanmoins être amené à participer, s’il est descendant (enfant, petit-enfant) ou ascendant (parent, grand-parent), au paiement des frais d’obsèques en fonction de ses ressources. La déclaration de renonciation doit aussi être effectuée au greffe du TGI du domicile du défunt. L’héritier peut changer d’avis et formuler une acceptation tant que les autres bénéficiaires n’ont pas accepté la succession.

Vous souhaitez parler de votre situation et être conseillé(e) dans vos démarches ? Contactez vos conseillers qui sauront vous écouter et vous guider.

Anticiper l’avenir grâce à l’épargne et aux assurances.

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Vous souhaitez anticiper l’avenir et notamment le moment de votre succession. Vous ne savez pas quels dispositifs, vous pouvez mettre en place pour vos proches.

L’assurance vie est considérée comme un produit de placement à moyen ou long terme.
En effet, il est fiscalement plus intéressant d’épargner pendant au moins 8 ans, et les fonds sont souvent plus rémunérateurs lorsqu’ils sont placés sur une longue période.
Toutefois, vous avez le droit de clôturer votre contrat ou d'effectuer des retraits à tout moment.

L’assurance vie est un moyen de transmettre votre patrimoine avec une fiscalité avantageuse et une grande liberté dans le choix des bénéficiaires :

  • Les sommes versées au(x) bénéficiaire(s) du contrat (suite au décès du souscripteur), ne sont pas prises en compte dans le calcul de la succession du défunt (selon un certain plafond défini par l’âge du souscripteur au moment des versements) ;
  • Si le bénéficiaire du contrat est le conjoint ou le partenaire de PACS, il ne sera redevable d’aucun droit de succession ;
  • Pour les autres bénéficiaires du contrat (en dehors du conjoint), la fiscalité dépendra de l’âge du souscripteur au moment des versements.

Si votre priorité est de protéger votre famille en cas de décès ou d’accident de la vie, vous pouvez alors opter pour la souscription à une assurance prévoyance.
Les assurances prévoyance individuelles sont des contrats permettant de se prémunir contre les conséquences d’une dégradation de l’état de santé.

Vous pouvez, par exemple, souscrire à une assurance accident de la vie.
Ces assurances permettent de vous couvrir au moyen d’une indemnisation financière, en cas d'accident de la vie privée engendrant des dommages corporels, une invalidité, voire un décès.

Attention, ces contrats d’assurance ne sont pas des produits d’épargne. Il s’agit de contrats dits « à fonds perdus » qui ne permettent pas la constitution d’un capital et qui ne seront jamais versés si l’évènement (l’accident) n’a pas lieu.

En termes de prévoyance, vous pouvez aussi souscrire à un contrat obsèques.
Ces contrats permettent au souscripteur d’anticiper le financement de ses obsèques, et même, s’il le souhaite, de planifier l’organisation de la cérémonie.
Les proches sont ainsi libérés de la charge mentale et financière de l’organisation des obsèques.

Selon vos priorités, et selon les étapes de votre vie, vous ne ferez pas les mêmes choix d’investissements. Contactez dès à présent vos conseillers afin de leur exposer votre situation. Ils sauront vous écouter et pourront ainsi vous renseigner selon les spécificités de vos besoins.

Le mandat de protection future.

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Vous avez un enfant en situation de handicap et vous vous inquiétez pour son avenir si vous n’étiez plus là, ou dans l’incapacité de vous occuper du quotidien.

Le Mandat de Protection Future (MPF) permet d'organiser, par anticipation, sa protection (en vue d’une perte d’autonomie) ou celle de ses enfants souffrant de maladie ou en situation de handicap. Le mandat peut donc être rédigé en son nom propre ou au nom de son enfant en situation de handicap.

On distingue ainsi :

  • Le mandat de protection future pour soi : il permet de désigner à l'avance la (ou les) personne(s) qui sera chargée(s) de veiller sur ses propres intérêts (protection de sa personne et/ou de son patrimoine), le jour où la personne ne sera plus en état de le faire seul, en raison de l'altération de ses facultés.
  • Le mandat de protection future pour autrui : les parents (ou le dernier parent vivant) d’un enfant en situation de handicap (majeur ou mineur) peuvent solliciter le mandat de protection future afin de faire valoir les intérêts, besoins et habitudes de vie de leur enfant en situation de handicap, pour le moment où ils ne seraient plus eux même en mesure de le faire.

Le demandeur (appelé mandant) peut désigner un (ou plusieurs) proche(s) (appelé mandataire), sur simple courrier (ou cerfa) signé des 2 parties.

Le mandat de protection future intervient en l’absence d’un autre mandat de protection judiciaire (tutelle, curatelle ou sauvegarde de justice).

Le choix du mandataire est libre. Les personnes faisant elles-mêmes l’objet d’une mesure de protection juridique ne peuvent pas devenir mandataires. En l’absence de proche, un mandataire professionnel (inscrit sur la liste des mandataires judiciaires à la protection des majeurs -MJPM-) peut être désigné. Le mandat, exercé par un membre de la famille, est en principe à titre gratuit, mais le mandant peut prévoir une rémunération ou indemnisation du mandataire.
Lorsqu’il est effectué par un professionnel, la rémunération dépend de la situation de revenu du majeur protégé : https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000037360111/2018-09-03/.
Le mandataire s’engage à respecter les volontés du mandant, y compris ses choix de vie et ses habitudes, et à agir dans le respect de sa protection et de la préservation de ses intérêts, et dans le respect de ses droits et libertés.

Vos conseillers sont à votre disposition pour échanger, vous apporter des réponses, vous accompagner et vous soutenir dans vos interrogations.

Pour une écoute, un soutien, un accompagnement sur mesure,
contactez La Carac, Partenaire de Vie

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N° Cristal 09 69 32 97 05

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Le service La Carac, Partenaire de Vie est délivré par Dhomplus, spécialiste de l’accompagnement social à distance et tiers de confiance de la Carac.
*Vos conseillers mutualistes Carac restent vos interlocuteurs pour tous les sujets relatifs à vos contrats d'épargne retraite et prévoyance, joignables au 0 969 32 50 50.